Thank you for everything

Il y avait le vagabondage. Dont tout le monde souhaite à entendre parler, le privé dont tout le monde voudrait qu'il ne le reste pas, et pourtant, le privé aime à le demeurer, et il se le doit.
Et une histoire doit être racontée. Une histoire est souvent faite pour, conter une aventure, un état d'esprit, libérer des tourments que l'on aime à s'engouffrer en dedans. Mais sous la carapace d'une histoire, il se peut que l'on y trouve un sentiment qui restera alors privé pour son auteur. 

J'aurai en ma peau l'intérieur, le tout et le rien. Le petit et le trop grand. L'indélibile; celui qui ne s'en ira jamais et restera toujours dans tous les moments, du jour ou de la nuit, de la tristesse ou de la joie. J'aurai le nom et l'innomable, le sentiment et le relationnel, les souvenirs qui ne s'en vont pas et les sentiments qui se contre disent.
Les petites choses auxquelles l'on pense puis que l'on tente d'oublier. Dans un espace caché à la vue de tous, et pourtant bien en évidence, comme un blason porté sur une veste et auquel on ne fait pas attention.